mardi 18 décembre 2007

Censuré

La route accidentée par un récent orage, et un carambolage, résonnait sous les pas d'un homme d'une trentaine d'années environ, que nous appellerons, par commodité, et pour ne rien vous cacher, le héros. Ses habits étaient sales et même déchirés par endroits, mais lui n'avait pas de séquelles, tant physiques que morales, contrairement à sa voiture, dont la carcasse gisait non loin de là, dans un état désastreux, sur le côté de la route et contre un arbre. Elle ne lui était plus utile, alors il s'en désintéressait, comme beaucoup de personnes le font avec leurs semblables, et continuait à pied, puisque les siens étaient en parfait état de marche.

Il se dirigeait seul avec flegme vers la ville la plus proche, qui se trouvait être effectivement très proche à vol d'oiseau. Sur place, il s'assit sur un banc près d'une fontaine au milieu du parc municipal de ladite ville. Il n'attendit pas plus d'une minute avant de se faire aborder par une jeune femme d'une beauté discrète. Leur discussion, dont le contenu reste encore aujourd'hui inconnu, fut brève. Quand elle s'en alla, notre héros avait le sourire large et un papier dans la main, sur lequel, quelques secondes auparavant, la jeune femme avait griffonné quelques mots, mais vraisemblablement un numéro de téléphone.

Il s'aperçut tout à coup qu'il avait chaud à la tête et qu'il était d'ailleurs temps de passer à la suite.
“Tiens, j'ai chaud à la tête ! Bon, il serait temps que je passe à la suite.”
Il se rendit à l'hôtel pour réserver ce que vous pensez, puis décida d'aller flâner un peu en ville.

Le soleil avait déjà bien décliné quand il ne déclina pas l'offre de son estomac. A l'hôtel, qui faisait également restaurant, il se commanda un bon repas. Le temps que le serveur lui apporte son plat, il sortit de la poche intérieure de sa veste le papier dont il a été question quelques lignes plus haut et composa sur son petit portable, qu'il tenait sur la paume de sa main, le numéro, que nous ne pouvons pas divulguer, griffonné l'après-midi même par une main féminine.
“ Ne perdons pas de temps. Venez dans une heure au salon de l'hôtel où je me trouve en ce moment. ”
Apparemment, la jeune femme ne devait pas avoir bien entendu, car il répéta ces deux phrases un demi-ton au-dessus. Quand il éleva le ton une troisième fois, il était visiblement mal à l'aise et provoqua le rire de certains clients, lesquels avaient repéré son numéro imprévu et improvisé, situation qui arrive à toute personne qui devient le centre des regards en essayant justement de les éviter.

L'arrivée de la jeune femme que nous connaissons déjà ne passa pas non plus inaperçue : elle était vêtue d'un pantalon et d'un t-shirt qui suivaient les courbes de ses formes et la rendaient assez désirables, bien que ce soit la même jeune femme, celle qui a accosté notre héros au parc. Celui-ci regarda celle-là s'approcher et ceux-ci semblaient se déshabiller mutuellement du regard. Il prit même un air inspiré en louchant au milieu du t-shirt, sur lequel était inscrit :
“ Oui, je suis bien une fille, hétérosexuelle et sensible au charme héroïque. ”
Elle s'assit lascivement près de lui, se pencha à son oreille, lui chuchota un message dont la teneur nous a été cachée, mais qui devait être une sorte de compliment puisque le visage du héros s'illumina. Ils se levèrent d'un même élan et il l'enleva littéralement vers les escaliers et certainement dans sa chambre pour…

(Veuillez nous excuser pour cette coupure dans notre récit, mais ils ont refusé que nous donnions des précisions à propos de ce qui s'est passé dans la chambre du héros, lorsqu'il y fut en compagnie de la jeune femme.)

Quelques minutes plus tard, elle s'en allait, arborant sur son visage une visible fierté, qu'elle ne tenta pas de cacher à ceux qui la croisèrent. Quant au héros, il ne sortit de sa chambre que le lendemain matin, pour se rendre à l'étage inférieur, dans une chambre dont la porte lui fut ouverte par une ravissante blonde. Fut-il plus surpris par la nuisette bleue marine au décolleté orné de dentelles ou par le fait que ce soit une femme ? Quoi qu'il en soit, elle lui tendit une enveloppe sur laquelle il lut :
“ Pour le héros (et un conseil : ne touche pas à la blonde !) ”

(Nous sommes désolés de vous annoncer qu'il nous est interdit de vous divulguer le contenu de la lettre.)

Le héros était désappointé. On ne pouvait pas lui apporter de plus mauvaise nouvelle. C'était comme s'il avait accompli tout cela pour rien. Non, ce n'était pas possible, ni logique. Il avait l'impression que cette lettre ne collait pas avec l'ensemble, qu'il y avait quelque chose de louche là-dedans, pensa-t-il en regardant du coin de l'œil vers la blonde. A la façon qu'elle avait d'éviter son regard perçant-de-celui-à-qui-on-ne-la-fait-pas-et-ça-ne-sert-à-rien-de-mentir, il sentait qu'elle savait quel était ce quelque chose, sans pouvoir l'affirmer péremptoirement. Or, pour éclairer la situation, il eût fallu qu'il l'interrogeât. Encore qu'il ne fût pas sûr qu'elle eût pu être une traîtresse et par conséquent au courant de quoi que ce fût. Mais il préférait un éventuel remords à un hypothétique regret ; ou l'inverse.

(Nous sommes au regret de vous informer que vous ne le serez pas, les méthodes d'interrogatoires du héros étant protégées par des droits d'auteur que notre budget ne nous permet pas d'acheter.)

Voilà qui ne l'avançait pas plus. La blonde ne savait rien, en ce qui concernait cette affaire, que le héros ne sût ou ne devinât déjà. Par contre, elle savait très bien se défendre et notre héros en fit la pénible expérience : une arcade sourcilière fendue ; mais elle s'en remettra ; si elle réussit à échapper au feu.
“ C'est éclatant cette histoire ”, toussa -t- il en sortant de l'hôtel par l'escalier de service.
Par conscience professionnelle, il tint quand même à se rendre à l'endroit où était sensé se trouver le microfilm. Il s'élança aussitôt dans le dédale des rues de la ville polluée. En chemin, il zigzaguait pour ne pas bousculer les personnes qu'il croisait rapidement, même si parmi ces personnes il y avait de jolies filles aux habits moulants, et sur les t-shirts desquelles il aurait pu lire, s'il avait eut le temps, divers messages tels que ceux-ci :
“ T'es pas mal, mais tu ne vaux pas mon homme.”
“Regarde-moi dans les yeux.”
“Si tu penses à ce que je crois que tu penses en ce moment, tu manques d'originalité.”
“Tous les mêmes, sauf papa.”

Mais notre héros, évitant toute personne, même féminine, qu'il aurait touchée s'il n'avait été d'une souplesse et d'une agilité incroyables, ne pensait qu'à sa mission et pas aux filles. C'est nous qui avons les idées mal orientées, à cause des apparences. Il suffit que nous apercevions une partie de la réalité pour nous imaginer la suite.

A l'endroit prévu, que vit-il ? Pas la moindre trace du microfilm. A la place, il tomba nez à nez sur la jeune femme du parc et du salon de l'hôtel.
“ Que faites-vous ici ? ”, lui demanda -t- il dès qu'ils furent à nouveau debout et en se massant chacun le nez.
“ Je suis venu vous prévenir… L'ennemi est au courant pour le microfilm… Il y a eut des fuites.… Vous êtes en danger… Il faut appliquer le plan B… ” Elle était essoufflée.
“ Rappelez-moi exactement en quoi consiste ce plan de secours, à l'oreille, juste pour être sûr.
— (…) ”

Donc, pour brouiller les pistes, il prit un taxi qui l'emmena à l'autre bout de la ville, puis emprunta un vélo jusqu'au parc municipal, puis acheta une planche à roulettes (plus connue sous le nom de skateboard), grâce à laquelle il put se rendre dans un magasin du centre-ville, puis déambula dans les rayons pendant près de cinq minutes, avant de sortir par l'escalier de service, enfin courut jusqu'à l'orée d'une grande forêt, vers une petite cabane en bois de chêne, à l'intérieur de laquelle se trouvait une grande rousse ravissante en petite tenue.
“ Où est-il ?
— Approche, je vais te le susurrer. ”
Méfiant, il s'approcha lentement, elle se serra contre lui et (…) en sortant de la cabane, il décida d'aller rapidement à l'endroit que venait de lui indiquer ce qu'il faut bien appeler son contact, avant que l'ennemi ne l'interceptât.

Finalement, il récupéra le fameux microfilm. Il ne lui restait plus qu'à aller le donner à ses supérieurs, en veillant bien à toujours prendre beaucoup de précautions, car l'ennemi le surveillait de près. (…)
Bref, il réussit.

Notre héros avait bien mérité le repos du guerrier. A l'hôtel, il composa à nouveau le numéro de téléphone de sa collègue, afin de la remercier pour son aide précieuse. Elle lui annonça qu'à deux minutes près, elle aurait accepté, mais un autre agent méritant venait justement de l'inviter à dîner ; une autre fois peut-être.
Heureusement, notre héros était aussi philosophe. Il se dit que ce n'était pas grave et qu'après tout, il y avait d'autres filles sut terre.
C'est sur cette pensée d'une grande profondeur épicurienne, hédoniste et sans doute sybaritique, que s'achève notre récit.

Fin

A propos, vous voulez sûrement savoir ce que ce maudit microfilm contenait de si convoité. Son secret (…)

[Nouvelle extraite du recueil Anomalies]

lundi 17 décembre 2007

Résultats et commentaires sur l'Amour

Au départ, je voulais ne poser qu'une question sur l'Amour. Puis, je me suis dit que ce serait trop vague, qu'il valait mieux détailler un peu mon idée. Cela a donné une douzaine de questions. Merci à tous et surtout à toutes d'avoir pris le temps de lire et de plonger au fond de vous pour répondre à ce questionnaire ! C'était votre impression du moment. Une photo de votre état d'esprit à l'instant de l'écriture. Peut-être changeriez-vous certaines réponses, tandis que vous confirmeriez les autres. Trop tard, les écrits restent. D'ailleurs, on ne change jamais vraiment d'avis. Au fond, on est toujours en accord avec soi. Sauf sous le coup de la colère, mais on sait ce qu'elle vaut, la colère. Les détails importent peu, seul compte l'esprit qui émane de l'ensemble.
Je ne prétends pas ici faire une analyse socio-scientifico-littéraire. C'est un article écrit à plusieurs. Et je joue le jeu, en ajoutant ma réponse à chaque fois.

1. D'abord, lui mettre une majuscule permet de le regarder à vol d'oiseau, pour le décrire comme on le voit dans sa vie. Avec vos réponses rassemblées, on a tout : romantisme, beauté intérieure, compréhension, tolérance, patience, bonheur, carpe diem, souffrance, pardon, énergie positive.
C'est un sentiment réciproque entre deux personnes (Jolie Fleur Bleue), “qui s'aiment pour ce qu'ils sont en dedans” (123 Sorry 321). C'est “apprendre à se connaître”, “tout comme l'amitié” (Lætytiss). “Vivre tout le plus intensément possible, un grand max de bonheur, se donner a 300 %” (Pacifik Lover). Cela fait souffrir mais on ne peut pas être heureux sans lui (Tytel). Il “arrive quand on ne l'attend pas” et ne ressemble pas à ce que l'on attendait (Kylalia). “C'est le sentiment suprême, qui te permets d'avancer, de comprendre, de pardonner” (Aline). “C'est aussi bien pour le bon que pour le mauvais” (so-k-rO).

Ma réponse : La majuscule permet de personnifier le sentiment, pour indiquer que non seulement c'est un sentiment noble, le sentiment par excellence, mais en plus que c'est un dieu. D'ailleurs toutes les religions ont leur dieu de l'amour (soit dans leur dieu unique, soit c'est un de leurs dieux). Entre les lignes, je veux dire qu'il représente pour moi l'essence même de la vie, son origine, son alpha et son oméga, l'énergie qui lui donne sa force et son sens.

2. L'avantage avec les citations, c'est que l'on a toujours raison, parce que l'on a ses raisons pour avoir fait ce choix et personne n'est en droit de le contredire. J'aime particulièrement la réplique d'Esmeralda, car c'est une de mes préférées. L'idée de "complicité passionnée" (Jacques de Bourbon Busset) me plaît assez également.
En citant les paroles de quelqu'un d'autre, on reprend à son compte une idée que l'on trouve bien exprimée. C'est aussi valable qu'une idée exprimée avec nos propres mots.

Ma réponse : “Toute la loi d'en haut est dans ce mot : aimer” (Victor Hugo, dans La Fin de Satan).
“Ce que j'ai aimé, que je l'ai gardé ou non, je l'aimerai toujours” (André Breton, dans L'Amour fou).
"Et l'amour des choses impossibles qui sont vraies quand on est heureux" (chanté par Yves Duteil dans Jonathan).
Etc. Pourquoi plusieurs citations ? Pourquoi se limiter quand on parle d'un sujet aussi fertile !

3. Comment se représente-t-on l'amour ? Par des symboles de sensualité et de tendresse (un cœur, deux regards, une bougie en forme de cœur, Le Baiser de Rodin, Le Baiser de l'Hôtel de Ville de Doisneau), des images entre espoir et désespoir (l'affiche de Romeo + Juliette).

Ma réponse : J'ai une image dans la tête, je ne sais pas si elle existe en tableau ou en photo, mais voici comment elle se présente : un couple de dos, main dans la main, à l'orée d'une forêt, regarde au loin une ville, tandis que dans le ciel brillent des milliers d'étoiles. La forêt représente leur nature, leurs racines. La ville est leur avenir. Les étoiles sont les bonheurs qu'ils ont partagés et ceux qu'ils vont partager.

4. Pour sortir de l'idée de l'amour romantique, j'ai abordé le thème de l'acte désintéressé, agir “pour l'amour de l'humanité”, comme dirait Dom Juan ; quand on fait quelque chose pour quelqu'un par simple plaisir, du fond du cœur. Cela commence par être ouvert d'esprit, à l'écoute, et cela peut être juste un conseil. On peut aussi faire quelque chose que l'on n'aime pas faire, pour aider.

Ma réponse : La pudeur m'interdit de raconter un service rendu par amour. J'ai plutôt une impression. Quand j'offre en cadeau quelque chose que j'aimerais bien recevoir aussi, est-ce vraiment totalement un cadeau ? Normalement, un cadeau, on l'offre parce que ça plaît à cette personne et pas forcément à soi. Je sais, oui, c'est con comme torture d'esprit.

5. J'y ai mis aussi mon grain de sel culturel. Et y a de quoi piocher ! Surtout dans les histoires romantico-dramatiques : Entre deux Rives et Moulin Rouge (cités deux fois), La Belle et la Bête, Titanic, Romeo et Juliette, Legend, Rencontre avec Joe Black... Et puis, il y a les films qui abordent d'autres sortes d'amours : Antartica, À la Recherche du bonheur.

Ma réponse : Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain, Les Poupées russes, Big Fish, etc. Y'a tellement de films où l'Amour prend son temps pour fleurir !

6. Bon, revenons à l'amour figurément dit. Ou plutôt, à d'autres mots pour le désigner et encore une fois, en alignant ceux que vous avez choisi, on a tout : tendresse et union, amitié, raison d'être, peine, passion et sincérité, espoir et avenir. Voilà, donc l'amour c'est grand, beau, compliqué.

Ma réponse : Tendresse, partage et empathie.

7. La preuve avec vos confessions, que je ne vais pas remettre ici, puisque vous les avez déjà écrit ; en plus, ce sont les vôtres et je n'ai pas les copyrights.

Ma réponse : À chaque fois que je suis témoin de la complicité d'un couple, qui sait garder son énergie malgré les aléas de la vie. Ou même quand je vois deux personnes qui se soutiennent lors d'un coup dur. Quand je passe un moment avec des amis. Bref, quand la vie offre des exemples de relations humaines chaleureuses.

8. Comme les films, les chansons d'amour pullulent. L'une des plus belles parce qu'elle évoque tous les amours, toute en pudeur : Quand on n'a que l'amour. Elle fait partie des incontournables, avec L'Hymne à l'amour et Ti Amo. C'est pratiquement inépuisable. On peut toujours trouver une nouvelle chanson qui fait écho à ce que l'on a vécu ou ce que l'on vit ou ce que l'on rêve.
Ah ! Vous avez aussi pensé à des chansons qui parlent d'autres sortes d'amours que celui auquel on pense d'abord. Loin de Toi de Pit Baccardi (sur l'amour enfant/mère), Vivo per Lei (cité 2 fois) (sur l'amour de la musique).

Ma réponse : Quand on n'a que l'amour, Imagine, Sauver l'Amour, All You Need is Love… Oups ! J'ai dépassé le quota.

9. Si l'amour était un roi, autrement dit : lâchez-vous sur les personnifications ! Donc, tout est bon, quelle que soit la réponse. Ou alors faudrait en discuter : pourquoi t'as choisi ça, moi j'aurais plutôt mis ça... Etc.
Pourtant, une réponse m'a plus enchanté : “l'amour est mon roi et je suis son serviteur, son bouffon, sa soeur, son garde du corps, sa femme et son mentor ; mais son ennemi c'est ceux pour qui l'amour n'est qu'un jeu”. Ou cette autre personne qui a répondu sobrement : “Moi”.

Ma réponse : Le désir serait son serviteur, tout simplement, l'humour son bouffon, la haine sa sœur, l'amitié son garde du corps, l'habitude son ennemi principal, le temps son mentor.

10. Avec la question sur les sortes d'amour, je donnais directement mon idée maîtresse, mais vos réponses aux autres questions répondaient indirectement à celle-ci.
Or, il y a deux camps : les partisans de l'amour unique dont l'intensité varie et les partisans des différentes amours humaines (famille, amis, amoureux...). Un ou plusieurs, vous chipotez, mais, au fond, vous êtes d'accord.

Ma réponse : L'amour entre un homme et une femme, entre deux hommes, entre deux femmes, l'amitié, l'amour filial et l'amour parental, la solidarité,...

11. À l'instar des anecdotes, le conseil de notre conscience, dans un sens, ne regarde que soi, mais cela enrichit encore la vision de l'amour. Cela nous aide à avancer et cela sert de témoignage pour aider d'autres personnes, pourquoi pas ! “Tente !”, “Ne baisse pas les bras”, “Écoute ton cœur”, “Profite de chaque instant”, “Ne cache jamais tes sentiments”, “Referme cette blessure et essaie d'aimer à nouveau, car sinon tu risques de rater quelque chose”, “Donne-lui une autre chance”.

Ma réponse : Patience.

12. Enfin, assez de l'amour pensé et revenons à l'amour vécu, grâce à celles et ceux qui nous entourent. J'y ai lu toutes les sortes d'amour. Encore une question qui fait écho à une autre.

Ma réponse : Mes parents, mon frère, mes amies, mes amis, parce que nous avons appris à nous connaître et nous nous sommes donc chacun peu à peu choisis mutuellement.

13. D'après vos conclusions, ok, j'ai compris, je me pose trop de questions. L'amour se vit, il ne se raconte pas. Mais ce quiz valait le coup, car en témoignant, vous avez pu regarder un peu dans votre cœur et votre esprit, pour montrer où vous en êtes. Vous m'avez ainsi fait un cadeau précieux. Merci encore de contribuer à diffuser l'Amour autour de vous, ne serait-ce que par un mot, dans votre vie de tous les jours.